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Les épaves de bateaux rouillés polluent les côtes comoriennes dans l’indifférence totale des autorités nationales et municipales. A la baie Kalaweni, lieu historique et touristique le plus populaire de l’archipel, ces maudits navires ont pris la place des boutres qui faisaient, il y a quelques années, le charme de ce site.
Les épaves de bateaux rouillés polluent les côtes comoriennes dans l’indifférence totale des autorités nationales et municipales. A la baie Kalaweni, lieu historique et touristique le plus populaire de l’archipel, ces maudits navires ont pris la place des boutres qui faisaient, il y a quelques années, le charme de ce site.
Les épaves de bateaux rouillés polluent les côtes comoriennes dans l’indifférence totale des autorités nationales et municipales. A la baie Kalaweni, lieu historique et touristique le plus populaire de l’archipel, ces maudits navires ont pris la place des boutres qui faisaient, il y a quelques années, le charme de ce site.
Les épaves de bateaux rouillés polluent les côtes comoriennes dans l’indifférence totale des autorités nationales et municipales. A la baie Kalaweni, lieu historique et touristique le plus populaire de l’archipel, ces maudits navires ont pris la place des boutres qui faisaient, il y a quelques années, le charme de ce site.

Les épaves de bateaux rouillés polluent les côtes comoriennes dans l’indifférence totale des autorités nationales et municipales. A la baie Kalaweni, lieu historique et touristique le plus populaire de l’archipel, ces maudits navires ont pris la place des boutres qui faisaient, il y a quelques années, le charme de ce site.

Jusqu’ici, on vivait au rythme des gaz d’échappement des voitures, de fumées de dépotoirs anarchiques brûlés avec impertinence ici et là. Mais ces dernières années, les épaves de navire viennent s’ajouter au package pour une « pollution organisée » dans l’indifférence totale des autorités en charge de l’environnement, de l’urbanisme et de la santé publique.

Après le navire du feu homme d’affaires Salimamoud, un second bateau est venu passer ses derniers jours au Kalaweni au cœur du centre ville. Un autre submerge à une dizaine de mètres des côtes de la capitale, vers Hankounou. Un autre navire déjà rouillé a attiré notre attention au Port de Moroni. Nombreux se disent consternés par ce spectacle attristant mais les autorités compétentes n’ont jamais réagi. Ni le ministère de l’environnement, ni la mairie de Moroni.

« Il y a pollution de la mer à cause des métaux. Ca détruit les écosystème marins ainsi que les espèces», a déclaré Houria Aboubacar, un jeune spécialiste en environnement, interrogé sur les conséquences de la présence de ces épaves. «Certains espèces disparaissent et d’autres migrent ailleurs. Comment préserver nos ressources naturelles dans de telles conditions», a-t-elle poursuivi.

La responsable de la coordination multisectorielle de l’Environnement et du Développement Durable, Fatima Ali, avait même déploré la disparition des poissons dans la baie de Kalaweni. « Quand on était jeune, on pouvait aller pêcher à la baie de Moroni. Aujourd’hui avec les ordures ménagères et les sachets déversés à la mer, il est impossible d’exercer la pêche aux poissons ».

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